Management : c’est souvent suite à un coup dur que les gens empruntent le chemin du développement personnel – maladie grave, effondrement, deuil.
Soudain, vous vous rendez compte que la vie que vous menez n’a pas de sens, que, sans vous en rendre compte, vous avez embrassé des modèles sans vous demander si vous y adhériez vraiment, que vous vous êtes laissé mener par des normes qui sont celles de votre entourage sans vraiment créer votre propre empreinte, différente, authentique.
Le cas de Pierre Guilbert est singulier ; pas de crise chez Pierre mais un ensemble de décisions pondérées visant à un seul et même objectif ; non point afficher effrontément le succès de sa (de moins en moins) petite entreprise au nez et à la barbe des grandes boîtes du même secteur mais, tout simplement, tenir debout !
Pierre Guilbert, comment le soft management est venu à un être pensant
Fils d’imprimeur, Pierre Guilbert a créé Qwentès, son entreprise de communication en commençant très modestement. L’entreprise a grandi, grandi, grandi, sans connaître le moindre turn over.
Un miracle ?
Non ! Pierre n’était même pas capable de retenir son personnel en lui offrant des revenus mirobolants !
Alors quoi !?
Il a fait mieux ! Pierre a offert ce dont nous mourrons tous de faim jusqu’à ce que nous l’obtenions (si nous y parvenons un jour) ! La reconnaissance ! L’estime ! La considération !
Contre le management de la terreur !
Comment se fait-il que des managers puissent maltraiter leurs collaborateurs au point d’inhiber leurs talents, voire de les rendre malades ?
La question mérite un traitement au cas par cas mais voilà peut-être une réponse qui correspond à tous les managers maltraitants : le manque d’empathie.
En tant qu’humain, on a tous le même besoin : être reconnu comme une personne dotée de compétences, capable d’initiative, et capable de rendre un avis sur une activité qu’on exerce au quotidien. On a besoin de comprendre ce qu’on fait, où on va, à quelle cause on contribue.
La recette de Pierre Guilbert, c’est l’empathie.
Pierre a offert à ses collaborateurs ce dont lui-même avait besoin en tant qu’humain.
Résultat : un taux de rétention de 100% et des collaborateurs à 100% engagés en faveur de leur entreprise.
Management : et vous, où en êtes-vous aujourd’hui ?
Quel type de manager êtes-vous ?
Pratiquez-vous la méthode brutale, celle qui inhibe l’initiative et fait pleurer les gens ?
Aimeriez-vous, au contraire, faire de votre entreprise un espace de travail qui grandit comme un champignon en se nourrissant de la joie de vivre de son personnel ?
Pour aller plus loin, cliquez sur l’image ci-dessous.
Le Beci – Chambre de Commerce de Bruxelles – vous réserve un été chaud chaud, chaud, sous la houlette de Pierre Guilbert !